Il y a des décisions qui ressemblent à des évidences.​

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J’ai racheté ce lieu avec une idée un peu folle : créer un endroit qui n’existait pas à Aurillac. 

 

Bars bruyants ou boites bondées où l'on s'entend à peine debout toute la nuit, ce n'était pas pour moi et j'ai fini par presque ne plus sortir. Il n'y avait aucun endroit pour ceux qui voulaient simplement passer une belle soirée, sans cris, sans foule, sans se sentir de trop… ni trop vieux, ni trop “à côté”.

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Je rêvais d'un endroit où l’on se sent bien dès qu’on passe la porte.

Un endroit qui ressemble plus à une maison habitée qu’à un bar.

Si vous êtes ici, peut-être que vous aussi, vous cherchiez ce type de lieu.

Un lieu où l’on puisse retrouver le plaisir d’une soirée élégante et chaleureuse, loin du “consommer passer”.

 

Avant d’ouvrir le Canot’, j’ai longtemps travaillé aux côtés d’artistes et organisé des événements à travers le Monde.

J’ai vu ce que l’on peut créer quand on met de l’humain, du vrai, du sensible dans une soirée ou un spectacle.

Mais j’avais envie d’aller plus loin :

créer un lieu chez moi à Aurillac, où l’intime dépasse tout, dans la relation, dans l’expérience, dans l’émotion, avec ou sans scène.

 

Le Canot’, c’est un refuge pour celles et ceux qui aiment l’ambiance, mais pas le vacarme.

L’énergie, mais pas la foule.

Les soirées où l’on repart avec un souvenir, pas juste une addition.

 

Je rêvais d’un endroit où l’on se sente accueilli comme chez quelqu’un,
où l’on prenne le temps,
où l’on vibre au rythme d’un live à quelques mètres,
où l’on danse sans se cacher,
où l’on partage un verre, une chanson, un moment vrai.

Un lieu avec une âme.
Un lieu où l’on revienne parce qu’on s’y sent bien, profondément bien.

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Cet esprit, longtemps dilué, revient aujourd’hui pleinement au Canot’.
Et je suis heureuse de vous ouvrir ces portes, telles qu’elles auraient toujours dû être.​​​​​​​​​​